StorageDNA & workflows collaboratifs à l’heure de la Covid

La crise sanitaire a engendré de profonds changements dans nos manières de travailler. Et les métiers de la postproduction ont dû s’adapter au distantiel en misant sur les technologies pour répondre aux besoins d’une nouvelle normalité. Notamment au travers des softs d’accès à distance, à la virtualisation des environnements de travail et des applications, au Cloud… Mais pas que…

StorageDNA n’a pas dérogé à la règle avec son expérience des technologies de gestion des données. Avec DNAevolution et les systèmes d’archivage LTO, ou DNAsync qui permet la synchronisation de données de serveurs distants. Sans oublier ses softs de reconnaissance des fichiers médias qui excellent à en extraire les métadonnées, accélérant de fait les recherches et les restaurations au sein de flux Avid ou Adobe.

Et StorageDNA créa Fabric…

Toute cette expérience et ces connaissances ont abouti sur DNAfabric, véritable couteau suisse de la gestion des données. Il prend en charge tous les types de stockage et de transfert de données, les synchronisations multisites, la récupération d’un espace de stockage, et la réplication de reprise après sinistre sur disque, mais aussi le Cloud et le WAN. À l’heure du télétravail, toutes les ressources sont donc ainsi disponibles dans l’espace de travail partagé à distance pour les flux créatifs.

Et à ce titre, les équipes de SDNA ont travaillé dur ces derniers mois pour insuffler leur magie de codage et leur connaissance des flux de travail Avid et Adobe dans Fabric et permettre des espaces de travail partagés à distance hors pair.

Le créatif en télétravail

De l’autre côté des coulisses technologiques, ces espaces de travail partagés à distance simulent dans une large mesure un environnement de réseau local, avec des fonctions de partage de projet et de verrouillage. Le modèle est basé sur des chargements/téléchargements vers un proxy dans le Cloud. Les dossiers du projet et des médias sont d’abord synchronisés avec le cache du Cloud, puis avec le stockage local des monteurs distants. On retrouve par ailleurs toutes les sécurités et toute la souplesse du local : modifications, verrouillage, révisions, droits par opérateur, prévisualisation des projets, etc.

Mais les possibilités de flux de travail Cloud hybride que StorageDNA propose désormais ne s’arrêtent pas là. Si DNAfabric est un outil extrêmement polyvalent, il peut également être utilisé en conjonction avec les projets éditoriaux Adobe Premier et Avid Media Composer Cloud. De quoi pérenniser les flux distanciels pour pas mal de temps…

blast-info.fr signe ses premiers live avec TVU Networks

Un nouvel acteur de l’info débarque en trombe sur Internet, blast-info.fr. Une proposition éditoriale portée par Denis Robert dans la tradition de la presse écrite d’investigation associée à une WebTV privilégiant le live, les enquêtes et rendez-vous de fond…

Un nouveau souffle pour l’info

Lancé en avril sous l’impulsion du journaliste d’investigation et documentariste Denis Robert, ancien de Libération et notamment révélateur de l’affaire ClearStream, blast ambitionne de donner un souffle nouveau à l’info. Et la figure de proue de blast de préciser : « avec un positionnement contre l’uniformisation de l’information, en rapportant au public cette info bien cachée auquel nous avons accès, mais que l’ont retrouve nulle part sur les chaînes dédiées à l’actualité. »

Et si Denis Robert clame haut et fort l’indépendance de blast, c’est que le média n’est pas financé par la publicité, mais par ses 9000 abonnés et une levée de fonds participative de 900 000 euros. Et vise en septembre quelque… 18 000 abonnés. Au programme : enquêtes, politique, économie, international, social, environnement, santé, culture… et directs sur les grands événements. Le décors est planté : blast se veut « au service des citoyens et de l’intérêt général ».

Le live, plus-value éditoriale

Si le pure player généraliste compte un site chapeau, sa « base-arrière », garant de son indépendance vis-à-vis des plateformes, www.blast-info.fr, il s’appuie également sur la puissance de relais que sont les réseaux sociaux et sa chaîne YouTube à l’instar d’autres pure players médias.

Outre une grille en pleine montée en charge sur des sujets fact checkés, didactiques et documentés, et l’arrivée de plumes aguerries, blast s’est lancé dans la couverture d’événements sociétaux live, « véritable plus-value éditoriale », comme le soulignent de concert Serge Faubert, grand reporter, et Antoine Etcheto, JRI, qui ont tous deux couvert en direct, en mars la Marche pour le climat et le défilé parisien du 1er mai. Avec pour outils, outre leur œil expert et leurs caméras, les TVU One de TVU Networks.

Avec TVU One & Producer

Jeune média, blast se démarque dès ses débuts, notamment sur comment couvrir les événements en direct. « Il s’agit d’apporter un autre regard, souligne Antoine Etcheto, de montrer un événement en entier, de l’intérieur, de le commenter et de l’expliquer in situ, rencontrer et interviewer ses acteurs… Bref le contextualiser. » Cette « plus-value apportée à l’info » poursuit Serge Faubert, « a besoin de moyens légers, fiables, et peu coûteux pour la jeune structure que nous sommes, c’est pourquoi nous avons fait ces galops d’essai en louant ces unités TVU One chez Magic Hour et avons pu apprécier tout le potentiel de ce dispositif.

D’un unique TVU One pour la Marche pour le climat, « nous sommes passés à deux TVU pour le défilé du 1er mai commutés en direct à l’aide de TVU Producer : on appuie sur un bouton, on est connecté sans se soucier des aspects techniques. Cela nous ouvre aussi de nouvelles perspectives éditoriales : l’ajout d’un plateau animé d’un journaliste et de témoins experts, alternant actualité chaude de terrain et apport de commentaires et réflexions en plateau. » 
En attendant, les prochains live de blast, un petit détour s’impose par sa chaîne YouTube avec des sujets qui aident à décrypter et mieux comprendre notre société, mais aussi ses dérives.

XS Lav, un micro-cravatte pour smartphone & laptops

En cette époque quelle que peu troublée, où webinaires, zoom et consorts sont de mise, Sennheiser vient de lancer un micro-cravate tout droit tiré de son catalogue pro pour rendre les conversations distancielles plus audibles. Si tous les micros XS Lav sont vendus avec un clip, une bonnette anti-vent en mousse et un étui souple, la version XS Lav USB-C Mobile Kit pourra de son côté « accessoiriser » un smartphone à l’aide d’un mini trépied Manfrotto Pixi et une pince de maintien du téléphone pour la création de contenus Vlog.

La Fairlight Desktop Console disponible…

Les utilisateurs DaVinci Resolve peuvent désormais ranger leur souris pour travailler dans l’espace Fairlight. Désormais disponible, la Fairlight Desktop Console leur propose d’affiner leur mix à l’aide de boutons et faders. Côté vue d’ensemble, elle compte 12 bandes de canaux, chacune pourvue d’un fader motorisé et des boutons de contrôle de bande pour le solo, le mute ou la sélection d’autres paramètres, affichage LCD par piste et indicateurs de niveau, ou encore une molette de jog pour se déplacer rapidement sur la timeline et des commandes personnalisables… Bref tous les avantages d’une surface de contrôle…

Et pour tout contrôler à l’écran, le port HDMI permet un monitoring externe supprimant la nécessité de jongler avec les pop-ups de l’interface principale de DaVinci Resolve…

 

GIK Acoustics chez Magic Hour

Un bon monitoring c’est bien. Avec un traitement acoustique des lieux, c’est encore mieux. C’est ce que vous propose Magic Hour, qui distribue désormais les solutions du Britannique GIK Acoustics. Panneaux, cabines, et bass traps sont la solution pour tirer le meilleur parti de votre environnement de travail et gagner en confort d’écoute, clair et sans réverbération parasite.

Parmi l’offre déco ou simple, retrouvez les mousses, panneaux absorbants ou diffusants, amovibles ou fixes, bass traps à membrane accordées ou large bande…

Le monitoring idéal signé Neumann

Vous recherchez un travail précis sur la parole ? Neumann vous propose son moniteur KH310 équipé d’un HP médium particulièrement adapté à la voix et tout instrument mettant l’accent sur ce spectre… Parmi ses qualités, notons une réponse transitoire rapide et une faible distorsion harmonique. Côté application, le KH 310 est un monitoring parfait pour le champ proche tels que les studios de projet, de musique, de diffusion et de post-production pour l’enregistrement, le mixage et le mastering.

Avec une pression acoustique mesurée à 116,3 dB il conserve une restitution haute résolution et neutre sur toute la réponse en fréquence. L’énergie est là pour les dynamiques les plus exigeantes, sans distorsion ni perte (alimentation à découpe AB et amplification trois voies). Et pour ceux qui opteraient pour sa version entrée numérique (XLR ou BNC), il accepte les signaux 24 bits, 192 kHz, AES3 et S/P-DIF.

La synchronisation à l’image assure un delay labial de 0 à 10/12 images. Enfin, il peut être retardé jusqu’à 400 ms dans l’optique de compenser des distances d’écoute variables.

 

Chyron mise sur les productions légères avec sa plateforme Prime Live

Ce qui est valable pour les grands l’est aussi pour les plus petits. Avec son passage en version 4, la plateforme Prime devient Prime Live. Elle propose les fonctionnalités graphiques, de clips et de branding des versions précédentes, et ambitionne de devenir une suite logicielle complète à destination de la production de diffusion de taille réduite. On pense notamment à la diffusion OTT, le streaming direct sur les plateformes de réseaux sociaux ou la reprise après sinistre tout en minimisant les coûts, la complexité et la dépendance aux ressources physiques fixes.

C’est ainsi que Prime Live Platform entend se positionner. Mais pour que l’offre soit efficace et complète, Chyron y a adjoint la partie mélangeur, Prime Switcher, un 2M/E soft doté d’un mélangeur audio multicanal. Conçue pour répondre aux besoins des environnements de production hybrides, la plateforme Prime Live se veut indépendante de l’environnement et peut être déployée sur du matériel standard ou personnalisé, sur une machine virtualisée ou entièrement dans le Cloud.

Côté entrées-sorties on retrouve SDI, NDI et flux H264 sous formats SD, HD, 4K, UHD et HDR… Enfin, Prime Live se pare des capacités de conception et de diffusion de graphiques Prime, y compris l’importation de sources Adobe After Effects…

CineXtools de Cinedeck vous donne tout pour une semaine !

Cinedeck vous donne beaucoup parce que vous avez beaucoup à faire. La finalisation d’un fichier pour la livraison présente de nombreux défis. Testez donc la suite d’outils pouvant fonctionner sur PC et Mac. Et des outils qui vous permettent d’effectuer instantanément les modifications dont vous avez besoin pour la livraison finale.

Alors profitez dès aujourd’hui d’une semaine d’essai gratuit.

 

MainConcept Codec : taillé pour Resolve

Vous souhaitez tirer davantage parti de la puissance de DaVinci Resolve Studio ? Le mois dernier, MainConcept sortait son codec éponyme qui vous affranchit du passage d’un outil à un autre pour vos étapes de conversion et de rendu. Tourner, monter et diffuser dans un même format prend ainsi des allures de jeu d’enfant (ou presque). Notamment pour les projets Sony XDCAM, XAVC, Panasonic P2 AVC Ultra et AVC-Intra. Le plug-in MainConcept Codec permet d’effectuer le rendu de projets AS-11 UK DPP SD (MPEG-2) et HD (AVC/H.264) directement à partir de la timeline de DaVinci Resolve Studio. Il propose aussi un accès natif aux profils HEVC Main et Main 10, en utilisant l’encodeur vidéo logiciel HEVC/H.265 de MainConcept jusqu’au 8K 10 bits 4:2:2. Et inclut les métadonnées pour la livraison aux diffuseurs…

Miria d’Atempo chez Magic Hour

L’archivage devient aussi simple qu’un clic droit dans des applications telles que Avid Interplay, Fork, Empress MAM, Levels Beyond Reach Engine, EVS, MediArchive Director, DIVArchive, Front Porch Digital…

Modulaire, scalable et puissant.. Miria d’Atempo vient d’entrer dans le portfolio Magic Hour. Sur le segment de l’audiovisuel, des dailies jusqu’à l’archivage des projets achevés, Miria protège et préserve les contenus tout au long des workflows, et optimise la capacité de stockage à mesure que les demandes de volumétrie augmentent. Du spécialiste de la postproduction aux géants des médias, Miria s’adapte aux besoins de performance et de capacité.

Une philosophie agnostique

Miria communique avec tous les systèmes connus du marché. Au quotidien, il libère de l’espace sur les stockages primaires les plus performants et contrôle les besoins d’extension de capacité de stockage.

Il permet par ailleurs de migrer de très grands volumes de fichiers efficacement (données non structurées) entre stockages et systèmes de fichiers hétérogènes (tous les OS, disque dur, stockage objet, supports optiques, support linéaires, Cloud, ou toute combinaison de ces technologies), réduit les temps d’archivage et de backup grâce à sa technologie propriétaire FastScan, et ne restaure que la partie utile d’un fichier lors d’une recherche.